Écoute10/14
1. <!--[endif]-->Sous quel nom Cosette
est-elle connue ?
2.
<!--[endif]-->Quel est le métier de
Marius ? Exerce-t-il ce métier?
3.
<!--[endif]-->Conversation avec son
grand-père : faites un résumé en deux phrases
4.
<!--[endif]-->Pourquoi Jean Valjean
est-il inquiet ?
5.
<!--[endif]-->Événements qui déclenchent
l’insurrection de 1832
6.
<!--[endif]-->Qu’y a-t-il de particulier
dans les émeutes qui s’étaient déroulées à Paris jusqu’alors ?
7.
<!--[endif]-->Une fois la barricade
achevée, que font les jeunes révoltés ?8.
<!--[endif]-->QUESTIONS DE LA
PHOTOCOPIE9.
Qui a sauvé Marius dans ce
chapitre
ORALITÉ ET ÉCRITURE
:
Ambroise était un
lecteur extraordinaire. « Quand il lisait, raconte Augustin, ses
yeux parcouraient
la page et son cœur examinait la signification, mais sa voix restait muette et
sa langue immobile. N’importe qui pouvait l’approcher librement et les visiteurs
n’étaient en général pas annoncés, si bien que souvent, lorsque nous venions lui
rendre visite, nous le trouvions occupé à lire ainsi en silence, car il ne
lisait jamais à haute voix. » (Saint Augustin, op. cit., VI, 3),
(…)
Une telle façon de lire
semblait suffisamment étrange à Augustin pour qu’il la relatât dans ses
Confessions. On en déduira que cette méthode de lecture, cet examen silencieux
de la page était en son temps un usage peu ordinaire, et que la lecture normale
se faisait à haute voix. Même si des cas de lecture silencieuse peuvent être
recensés à des dates antérieures, ce n’est pas avant le Xème siècle que cette
façon de lire deviendra habituelle en Occident.