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Les paysans asturiens sont convaincus que dans
toute portée de louve il y a un chien, lequel est tué par la mère, sans quoi en
grandissant il dévorerait les autres petits<!--[if
!supportFootnotes]-->[1]<!--[endif]-->.
Donnez une face
humaine à ce chien fils d’une louve, et ce sera Javert.
Les Misérables, Victor Hugo,
(1862)
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Le
corbeau et le renard <!--[endif]-->
<!--[if
!supportFootnotes]-->[1]<!--[endif]--> L’information a été notée par Hugo le 29 octobre 1846 dans le
Journal de ce que j’apprends chaque jour (Choses
vues, ouv. cit., 1830-1846, p. 449) : « Dans certaines
provinces, les paysans sont convaincus que, dans toute portée de louve il y a un
chien-loup, lequel est tué par la mère, afin qu’en grandissant il ne dévore pas
les autres petits. »
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Les escargots et
ICI
Rhinocéros et
ICI
Le Vilain petit Canard
La Métamorphose
Moby Dick
Platero et moi
Le Chat botté
Les Trois petits cochons
Le Calamar géant
L'animal miroir de l'homme.
« L'animal nous regarde et nous sommes nus devant lui. Et penser commence peut-être là.»
— L'animal que donc je suis (p. 50), Jacques
Derrida.