lundi 6 avril 2015

LOUIS MALLE À PROPOS DE "LACOMBE LUCIEN"




http://www.ina.fr/video/I04321481


Questions:

1. Expliquer le sens de la phrase: "Le film n'est ni une plaidorie ni une réquisitoire".
2.Notez la description que Louis Malle fait de Lacombe, le tailleur juif et sa fille.
3. Notez et expliquez la phrrase du philosophe Santayana citée par Malle.

jeudi 5 mars 2015

DU CÔTÉ DE CHEZ VIAN

Du côté de chez VianDe santé fragile depuis l’enfance, il avait choisi de vivre dans l’urgence. Boris Vian, l’homme pressé, était dès lors en avance sur tout. Même sur la mort, explique sa femme, Ursula Vian-Kübler...








BORIS VIAN, BIOGRAPHIE

Boris Vian, petite biographie portative br />
VRAI ou FAUX?
1. Comme Baudelaire, il était un dandy et il ne voulait pas être pris au sérieux.
2. Son enfance a été heureuse.
3. Mais après la crise de 1929, l'inquiétude règne dans la famille Vian.
4.  La mère de Vian était insouciante.
5. Il s'est marié avec Michelle.
6. Il avait un ami surnommé "le majeur", source d'inspiration pour lui.
7. Grâce à Raymond Queneau, il publie chez Gallimard et  tout de suite il gagne beaucoup d'argent.

COMPLÈTE
8. Sous un pseudonyme, il écrit un roman intitulé...........
9.Un homme étrangle sa petite amie et ................
10.  Il est condamné pour ...........................
11. .....................................est sorti en avril 1947
12. Sa femme le trompe avec..............................
13. sous l'ordre des médecins il devient .................
14. À l'avant première de .............................. il ....................

LE DESTIN DE MEURSAULT

Corrigez cette réponse
La vie quotidienne de Meursault  est décrite dans cette phrase de « L’Absurde et la révolte », en effet, sa vie est routinière. Pourtant il réussi à trouver un certain bonheur dan cette routine, comme lorsqu’il est avec Marie à la plage.  

On peut conclure que Meursault se révolte, c'est-à-dire, quand il comprend que le monde est absurde, il ne l’accepte pas,  tout au contraire, il fait un acte de rébellion contre la société. Cela implique assumer sa mort d’une manière insolite.

mercredi 11 février 2015

BAC ORAL DE FRANÇAIS

Bac oral de français<> 1. Minute 0' à 8' Trouvez des points communs entre le bac oral de français tel qu'il est décrit ici et l'oral Bachibac
2. Minute 11: corrigez la formulation de la problématique
3. Trouvez le plan
4. Trouvez des rappels du plan (notez la minute)

LA SAINT-VALENTIN S'APPROCHE!

À la Saint-Valentin, les mots d'amour s'affichent à Paris, pour le plaisir
Mots doux, déclaration d'amour ou demande en mariage… : 

Les plus belles compositions - environ 180 de vos messages sélectionnés par l’équipe de Paris.fr - sont diffusés toute la journée du 14 février sur les 170 panneaux lumineux de la Ville de Paris, de 6h du matin jusqu'au minuit.

Découvrez les 180 messages EN CLIQUANT ICI  et bonne Saint Valentin à tous et à toutes !

RÉALISME VS. ROMANTISME

Réalisme vs romantismeLe héros romantique

FIGURES DE STYLE

Figures de styleAmplification
Métaphore
Comparaison
Oxymore

EN GUISE DE CONCLUSION

En guise de conclusionN'oubliez pas que, pour la plupart, vous maîtrisez la première partie de votre conclusion, c'est déjà beaucoup !

Dans leur livre La dissertation littéraire (Armand Colin, 1995), utilisé comme livre de référence à la Sorbonne, Jean Pape et Daniel Roche ont écrit à propos de la conclusion :

Elle a d'abord un rôle de bilan: elle arrête le devoir sur une position ferme, clairement formulée [...] On peut aussi tenter parfois d'ouvrir en élargissant la réflexion  [...] Mais le danger est grand de plaquer artificiellement une citation, de faire un rapprochement hors de propos, de s'aventurer dans un débat oiseux. Mieux vaut alors méditer l'aphorisme de Boileau: "Qui ne sut se borner, ne sut jamais écrire."


Donc, n'oubliez pas que si après avoir répondu à vote problématique, vous n'avez rien à dire, alors il vaut mieux...  ne rien dire.



lundi 9 février 2015

ÉTUDIER LE LEXIQUE, C'EST VOTRE DESTIN!

Étudiez le lexique, c'est votre destin !
Providence « n. f. – XIIIe ; « prévisions » V. 1165, latinprovidentia, de providere « pourvoir ». Sage gouvernement de Dieu sur la création, et PAR EXT. (avec la majuscule) Dieu gouvernant la création. La divine providence. Les décrets, les desseins impénétrables, les conseils de la Providence. Aussi destin. « Mais que la providence ou bien que le destin Règle les affaires du mondes » La Fontaine. FIG. Être la providence de qqn, être la cause de son bonheur, combler ses désirs. Il s’est fait la providence des malheureux. Protecteur, secours. Vous êtes ma providence ! – La découverte de cette cabane fut une providence (providentielle). (Traduction de l’anglais welfare stateFAM. L’Etat de providence. »


Fatalité : « [fatalité] n. f. – XVe, latin fatalitas. Caractère de ce qui est fatal (1°, 4°). Fatalité de la mort. « Tout ne commence vraiment à être irrémédiable qu’à partir du moment où […] les meilleurs renomment, et s’inclinent devant ce mythe : la fatalité des événements » Martin du Gard. 2 Force surnaturelle par laquelle tout ce qui arrive (surtout ce qui est désagréable) est déterminé d’avance d’une manière inévitable. Destin, destinée, fatum. La croyance en la fatalité. Fatalisme. Fatalité et prédestination. La fatalité dans la tragédie grecque. Accuser la fatalité (cf. Fam. C’est la faute à pas de chance). « La fatalité jouit d’une certaine élasticité qui s’appelle liberté humaine »Baudelaire. « La fatalité, c’est l’excuse des âmes sans volontés »R. Rolland. 3 par ext. Nécessité, détermination. La fatalité historique. Fatalité intérieure qui pousse un être à agir selon sa nature. 4 Suite de coïncidence fâcheuses, inexpliquées qui semblent manifester une finalité supérieure et inconnue ; sort contraire. Adversité, malédiction. Par quelle fatalité en est-il arrivé là ? – Hasard malheureux. C’est une fatalité qu’il est pris justement l’avion qui a explosé. »
 Déterminisme : « n. m. – 1827, allemand Determinismus (fin XVIIIe) Principe scientifique suivant lequel les conditions d’existence d’un phénomène sont déterminées, fixées absolument de telle façon que, ces conditions étant posées, le phénomène ne peut pas se produire. Causalité. « Il y a un déterminisme absolu dans toutes les sciences » Cl. Bernard. – Déterminisme psychologique. Déterminisme historique. 2 Doctrine philosophique suivant laquelle tous les événements, et en particulier les actions humaines, sont liés et déterminés par la chaîne des événements antérieurs. CONTR. Indéterminisme, hasard. Liberté. »


ÉTUDIER EN FRANCE

Étudier en FranceVous trouverez ICI un pdf avec des études universitaires visant à l'obtention d'un double diplôme français/espagnol

S'INSCRIRE À LA FAC EN FRANCE

S'inscrire à la facS'INSCRIRE SUR LE SITE: http://www.admission-postbac.fr/

 ADMISSION POST-BAC

SESSION 2015

Inscription, choix de vos vœux et liste ordonnée :

  • Du 20 Janvier au 20 Mars pour toutes les formations.

Possibilité de modifier son classement hiérarchisé de vœux :

  • Du 20 Janvier au 10 Juin

Date limite de validation et d'envoi des dossiers-papier :

  • Le 02 avril

lundi 2 février 2015

UNE LETTRE MALGRÉ TOUT FORMELLE

 1.Cherchez quels sont les éléments de la lettre formelle présents dans celle-ci, et décrivez-les.

2.Énumerez les atouts et points forts énuméres par l'expéditeur de la lettre.

3.Écrivez une réponse avec tous les éléments formels réquis.


mercredi 21 janvier 2015

SÉQUENCE CAMUS - RÉVISION

MERCREDI 22 JANVIER
 Complétez la biographie et les dates de la bibliographie.
1.  Comment le contexte historique influence-t-il L'Étranger de Camus?
2. Quel lien peut-on établir entre L'Étranger et la phrase des Carnets citée dans l'épigraphe  " La philosophie du roman : L’ABSURDE et LA REVOLTE"
3. Quels éléments de l'incipit contribuent-ils à creer une ambiance d'étrangeté?
4. Dans la scène du meurtre, peut-on dire que le protagoniste est un héros tragique? Justifiez votre réponse. 
5. Points communs entre Meursault et Jean Valjean dans sa vie, procès, mort, etc.




LE PARIS DE VICTOR HUGO - TRADUCTION

Le Paris de Victor Hugo - Traduction
Voilà bien des années déjà que l’auteur de ce livre, forcé, à regret, de parler de lui, est absent[1]de Paris. Depuis qu’il l’a quitté, Paris s’est transformé[2]. Une ville nouvelle a surgi qui lui est en quelque sorte inconnue. Il n’a pas besoin de dire qu’il aime Paris ; Paris est la ville natale de son esprit. Par suite des démolitions et des reconstructions, le Paris de sa jeunesse, ce Paris qu’il a religieusement emporté dans sa mémoire, est à cette heure un Paris d’autrefois. Qu’on lui permette de parler de ce Paris-là comme s’il existait encore. Il est possible que là où l’auteur va conduire les lecteurs en disant : « Dans telle rue il y a telle maison », il n’y ait plus aujourd’hui ni maison ni rue. Les lecteurs vérifieront, s’ils veulent en prendre la peine. Quant à lui, il ignore le Paris nouveau, et il écrit avec le Paris ancien devant les yeux dans une illusion qui lui est précieuse. C’est une douceur pour lui de rêver qu’il reste derrière lui quelque chose de ce qu’il voyait quand il était dans son pays, et que tout ne s’est pas évanoui. Tant qu’on va et vient dans le pays natal, on s’imagine que ces rues vous sont indifférentes, que ces fenêtres, ces toits et ces portes ne vous sont de rien, que ces murs vous sont étrangers, que ces arbres sont les premiers arbres venus, que ces maisons où l’on n’entre pas vous sont inutiles, que ces pavés où l’on marche sont des pierres. Plus tard, quand on n’y est plus, on s’aperçoit que ces rues vous sont chères, que ces toits, ces fenêtres et ces portes vous manquent, que ces murailles vous sont nécessaires, que ces arbres sont vos bien-aimés, que ces maisons où l’on n’entrait pas on y entrait tous les jours, et qu’on a laissé de ses entrailles, de son sang et de son cœur dans ces pavés. Tous ces lieux qu’on ne voit plus, qu’on ne reverra jamais peut-être, et dont on a gardé l’image, prennent un charme douloureux, vous reviennent avec la mélancolie d’une apparition, vous font la terre sainte visible, et sont, pour ainsi dire, la forme même de la France ; et on les aime et on les invoque tels qu’ils sont, tels qu’ils étaient, et l’on s’y obstine, et l’on n’y veut rien changer, car on tient à la figure de la patrie comme au visage de sa mère.





[1] V. Hugo rappelle ici directement son exil, au moment où son héros se trouve traqué comme lui-même l’avait été en décembre 1851.
[2] Sous l’impulsion du baron Haussmann.

Les Misérables (2, 5, 1)


EXPRIMER LE BUT

Clique ICI pour avoir accès à la théorie (à étudier et à copier dans les cahier)
Exercices à faire dans le cahier. ATTENTION: pas de correction en ligne !



jeudi 8 janvier 2015

L'IDYLLE RUE PLUMET ET L'ÉPOPÉE RUE SAINT-DENIS (LES MISÉRABLES, t. IV)

Écoute10/14 



1.     <!--[endif]-->Sous quel nom Cosette est-elle connue ?

2.     <!--[endif]-->Quel est le métier de Marius ? Exerce-t-il ce métier?

3.     <!--[endif]-->Conversation avec son grand-père : faites un résumé en deux phrases

4.     <!--[endif]-->Pourquoi Jean Valjean est-il inquiet ?

5.     <!--[endif]-->Événements qui déclenchent l’insurrection de 1832

6.     <!--[endif]-->Qu’y a-t-il de particulier dans les émeutes qui s’étaient déroulées à Paris jusqu’alors ?
7.     <!--[endif]-->Une fois la barricade achevée, que font les jeunes révoltés ?8.     <!--[endif]-->QUESTIONS DE LA PHOTOCOPIE9.  Qui a sauvé Marius dans ce chapitre






ORALITÉ ET ÉCRITURE :


Ambroise était un lecteur extraordinaire. « Quand il lisait, raconte Augustin, ses yeux parcouraient la page et son cœur examinait la signification, mais sa voix restait muette et sa langue immobile. N’importe qui pouvait l’approcher librement et les visiteurs n’étaient en général pas annoncés, si bien que souvent, lorsque nous venions lui rendre visite, nous le trouvions occupé à lire ainsi en silence, car il ne lisait jamais à haute voix. » (Saint Augustin, op. cit., VI, 3), (…)
Une telle façon de lire semblait suffisamment étrange à Augustin pour qu’il la relatât dans ses Confessions. On en déduira que cette méthode de lecture, cet examen silencieux de la page était en son temps un usage peu ordinaire, et que la lecture normale se faisait à haute voix. Même si des cas de lecture silencieuse peuvent être recensés à des dates antérieures, ce n’est pas avant le Xème siècle que cette façon de lire deviendra habituelle en Occident.